Impacts des projets

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Le travail de ANCEFA a porté ses fruits sur le continent. Comme les données pour 2011 voici cinq catégories de changements réalisés en 2010 . Les catégories présentent des résultats en ce qui concerne la volonté d’unir la société civile par le plaidoyer EFA, de faire de l`éducation une priorité, d’augmenter le budget de l`éducation ainsi que sa crédibilité, tout en la rendant accessible pour tous.

Les catégories de changements en 2010

Plus de CSOs Unis Plus de priorité à l`Education Plus de fonds pour l’Education Plus de crédibilité Plus d`enfants l`école
• 35 NECS• 20 avec espace

• Etude de cas : Sénégal

• 80% reconnaissent l`éducation• 2010 3 principaux pays : Malawi, Kenya, Zambie

• Etude de Cas:Malawi

• 35 NECS Impliqués• 20 pays augmentent le budjet

• 20 countries allouent 20% ou plus

• International aid continue

• Etude de Cas:Kenya

• 25 pays à l`initial• 20 NECs dans le dialogue de politique

Au moins 10 pays dans la recherche de budjet

• Etude de Cas : la Gambie

• Le taux d`inscription augmente dans la plupart des pays• 25 pays discutent sur l`éducation inclusive

• 8 projets : l’éducation des filles

• Progrés : parité Hommes Femmes/NER

• Etude de Cas : Tanzanie

Notre travail en 2010 a eu un impact significatif au niveau national et international. Le travail de ANCEFA a contribué au changement de politique dans au moins 5 secteurs clés. Il a mené à : une société civile plus unie ; plus de gouvernements donnant la priorité à léducation ; plus de fonds pour l`éducation) ; plus de crédibilité à l`éducation ; et plus important , plus d`enfants marginalisés envoyés à l`école. Ci-dessous, nous décrivons cinq catégories de différents changements dans lesquels ANCEFA a joué un rôle sur le continent. Chaque catégorie de changement spécifie l’impact du travail de ANCEFA et présente une étude de cas d`un pays.

Catégorie1 : Une societé plus unie

Le travail de ANCEFA a engendré une société civile plus unie et plus forte, contrôlant et menant un pladoyer EFA en Afrique. L’établissement de 6 coalitions d’éducation nationales facilité par ANCEFA, a augmenté le nombre de coalitions des pays en Afrique de 29 en 2009 à 35 vers la fin de 2010.

Chacune de ces coalitions unit au moins 20 membres CSOs choisis parmi des syndicats de professeurs, des organisations basées sur la foi, des institutions de recherche, des mouvements de femmes, des ONG(des organisations non gouvernementales) locales et internationales. La présence de coalitions nationales dans les pays fait que ces organisations de société civile viennent et travaillent ensemble dans la poursuite des buts de l`éducation commune, plutôt que séparément. Certains des pays où les coalitions sont nouvellement établies, ont entamé un travail en commun parmi les CSOS et les syndicats de professeurs pour réaliser des buts d’éducation) commune à savoir le Sénégal, le Zimbabwe, le Cap-Vert, l’Afrique du Sud et le Mozambique.

ANCEFA a aussi renforcé le travail des Coalitions par la capacité à construire des ateliers et coordonner le financement des CSOS par des projets divers.

La formation des ateliers coordonnés par ANCEFA signifiait que environ 500 avocats avaient des dispositions dans les dommaines comme le financement de l`éducation, l’éducation incluse et le contrôle de projet et dans la gestion des budgets. Pour des projets soutenus par IBIS, Wellspring, Save the Children, et CSEF, 31 coalitions d’éducation nationales (incluant ceux d’au moins 25 pays FTI) ont reçu des fonds allant de $30,000 US à $30,000 US utilisés pour le renforcement de capacité, pour le plaidoyer de politique et l’assistance institutionnelle. Au Mozambique, par exemple, MEPT qui est la coalition nationale a, après avoir eu le budget CSEF ,en plus de renforcer le plaidoyer insistant sur l’éducation de qualité en 2010, également fait de grands efforts vers l’établissement d’une société civile nationale de fonds éducatif considéré comme un mécanisme par lequel les donateurs fourniraient le financement pour les CSOS.

Au niveau continental, en insistant sur des partenariats plus forts avec le Syndicat de l’Afrique et des communautés économiques régionales, ANCEFA a obtenu la reconnaissance formelle de l’UNESCO, après Dix ans de collaboration dans le domaine du plaidoyer pour l`éducation. En 2010 non seulement ANCEFA recrute plus de personnel, mais a aussi sa première voiture dans le bureau régional à Dakar, pour faciliter la coordination et le contrôle.

Cas du Sénégal : Des factions CSO rivaux unies par COSYDEP

Le Sénégal présente un cas rare où avec l’assistance financière et technique de ANCEFA en 2009/2010, 32 syndicats de professeurs unis avec les CSOS pour construire une coalition forte appelée la Coalition des Organisations et Syndicats pour la Défense de l’Education Publique (COSYDEP). En 2006, une crise est apparue avec des membres, mais elle a été amorcée et des syndicats de professeurs et diverses CSOS divisés en camp pour le pladoyer de EFA et le secrétariat de coalition sont tombés dans l`abus des projets de financement. Cependant, avec l’intervention de ANCEFA en 2008/2009 les factions se sont unis et ont mis en place un agenda commun par le biais de COSYDEP. COSYDEP, a non seulement accueilli avec succès l’Assemblée Générale ANCEFA en 2009, mais aussi en 2009/10, la coalition a vigoureusement fait campagne pour ECD , pour de meilleures politiques pour l’éducation incluse et des finances accrues pour l’éducation, ce qui constitue la clé de l’accomplissement des buts EFA avant 2015.

Par conséquent, le Président D’état a annoncé que ECD était la priorité gouvernementale tout en prenant des engagements pour faire respecter les droits des enfants marginalisés, handicapés et autres. En 2010, COSYDEP a réussi à motiver le chef d’Etat à soutenir la campagne le 1Goal pendant la semaine mondiale d`action. De plus, le gouvernement a commis presque 27 % de son budget national à l’éducation , ce qui est qui est plus que le minimum de 20 % recommandés par la communauté internationale. Le gouvernement sénégalais a aussi annoncé des réformes pour former et recruter plus de professeurs aussi bien qu’améliorer leurs conditions de travail.

Catégorie 2 : Plus de Gouvernements font de l`éducation une priorité

Il est évident que dans plus de 80 % des 35 pays où ANCEFA travaille avec des coalitions nationales,l`éducation est considéré comme un pilier clé dans le développement national. Cependant, en 2010 il y avait au moins 3 pays où l’éducation est devenue une priorité supérieure dans les politiques de pays et dans les agendas de réforme légale. Ces pays sont le Malawi, le Kenya et la Zambie.

Au Malawi, aprés n`avoir pas été parmi les 6 priorités de politique dans des MGDS de 2006, on a accordé la place 3 en priorité à l’éducation dans la partie avant de l’agenda de développement de l’année financière 2009/2010.

Au Kenya, on a accordé un haut statut à l’Éducation le qui est inscrit comme un droit dans la déclaration des droits de l’homme dans la nouvelle constitution du Kenya adoptée en 2010 et le gouvernement a entrepris de faire de l’enseignement basique et l`enseignement secondaires des droits accesibles à tous les enfants.

En Zambie, où le gouvernement a tenu une conférence constitutionnelle nationale il y a deux ans, les parties prenantes se sont assuré que la constitution révisée de la république mette la priorité sur l’enseignement et en fasse un droit et une obligation afin d`arriver à une présence obligatoire. Dans tous ces pays ,donner la priorité à l’enseignement dans la politique et la réforme légale a nécessité l’assignation accrue de ressources à ce secteur, ce qui devrait avoir des résultats à long terme dans la promotion de l’accès équitable et la formation initiale de qualité d`ici 2015.

Cas du Malawi : l’ Education passe d`un statut de non-existence à une priorité

AU Malawi, après les élections générales de 2004, le nouveau gouvernement a développé au the Malawi Growth and Development Strategy (MGDS), 2006-2011, comme une stratégie de développement de terme moyen dans son agenda de réforme de politique aligné à la vision du pays en 2020. Malgré un tollé des parties prenantes, l’éducation na pas réussi à s`imposer dans les 6 premières priorités, qui étaient l’Agriculture, la sécurité alimentaire, l`irrigation et développement d’eau ; développement des Infrastructures de Transport ; génération d`Energie et approvisionnement ; développement rural Intégré ; Prévention et gestion des troubles de nutrition, VIH et Aids. Par des revues annuels divers de MGDS , des rapports indépendants, des CSOs menés par le CSCQBE, la coalition nationale a insisté sur la reconnaissance de l`enseignement comme une priorité supérieure pour assurer le financement accru parmi d’autres,de lutter contre le taux trés haut taux d’analphabétisme qui est de 40 % et améliorer la qualité de l’enseignement. En 2009, (l’année des élections générales au Malawi) CSCQBE avec le financement de ANCEFA sous le projet de RWS, a entrepris une élection et une campagne de cycle budgétaire, qui a recommandé vivement aux politiciens de mettre la priorité sur l’éducation une fois hissés au pouvoir.

La coalition a développé un manifeste d’enseignement CSO appelé, “Agenda de l`Education)”, qui a été utilisé pour faire pression sur les leaders politiques et les membres aspirants au Parlement pour s`assurer que l’on accorde une priorité supérieure à l’enseignementdans les politiques de développement du pays, après l`accès au pouvoir. Après les élections tenues en mai 2009, le parti dirigeant avec à sa tête le Président Bingu wa Mutharika, dans un communiqué à la nation a annoncé neuf priorités parmi les priorités du gouvernement et a placé l’éducation) à la place 3. Par conséquent durant la session budgétaire 2010/2011 le financement pour l’enseignement a augmenté de presque 30 % par rapport à celui de 2009/10. De plus, bien que l’assignation du budget d’enseignement à 15 % ait fait défaut au minimum de 20 %, l’enseignement a reçu la part du lion du budget national, et l’assignation a représenté 23 % de la dépense récurrente, excédant le point de référence de FTI qui est de 20 %.

Catégorie 3 : Plus de fonds pour l`Education

Une des stratégies développées à Dakar en 2000 au forum mondial DE L`education et reconnu dans EFA GMR 2010 est le besoin de l’investissement accru dans l’enseignement pour faire face aux nombreux défis de capacité de EFA. On sait tous que la communauté internationale recommande un ivestissement d’au moins 20 % du budget national ou 6 % du GNI à l’éducation. En 2010, la poussée pour le financement accru pour l’éducation a atteint des niveaux sans précédent avec 35 pays en Afrique profitant de projets divers gérés par ANCEFA comme CSEF et RWS, faisant appel à leurs gouvernements pour s`assurer que le secteur de l`’éducation dispose de plus de fonds.

Les données rassemblées des coalitions nationales ont montré qu’au moins 20 pays ont fait un effort d’augmenter le financement pour l’enseignement. 10 pays ont atteint le point de référence de 20 %. Ceux-ci étaient le Burundi, 37 %, l’Ouganda 30 %, le Sénégal, 27 %, Ghana, 25.3 %, la Côte d’Ivoire, 24.5 %, le Kenya, 24 %, Djibouti, 22.8 %, Madagascar, 22 %, le Lesotho, 21.5 % et la Namibie, 20 %). 3 pays ont alloué à peu prés 19 %. Ceux-ci étaient la Zambie, 19.9, S/Leone, 19.4, and Rwanda, 19.

Dans un cas rare de financement accru pour l’alphabétisation des adultes, le gouvernement de Mali dans l’exercice financier de 2009/2010 a augmenté le financement pour l’alphabétisation des adultes de 1 % au point de référence international de 3 %. Ceci, après la campagne de plaidoyer bien coordonnée et la pression par la Coalition du Mali, après un étude soutenue par ANCEFA et appelée “ETUDE SUR LE NIVEAU DE LA RÉALISATION DES OBJECTIFS de L’EPT AU MALI Cas de l’Education Non Formelle” en 2009. On s’attend au financement accru pour l’alphabétisation des adultes pour amener plus de personnes à atteindre des compétences d’alphabétisation de base, dans un pays où 70 % de la population sont illettrés.

Il y`a beaucoup à faire pour des pays avec les plus petits budgets incluant le Nigeria, 8.6 % ; et la Guinée Bissau, 11.7 %. Des coalitions nationales doivent faire campagne plus autour des pays utilisant les sources intérieures de revenu pour financer l’enseignement. En 2010 par exemple, ANCEFA en partenariat avec d’autres ONG(organisations non gouvernementales) internationales c’est-à-dire. AAI, GCE, EI a recommandé pendant le financement régional et national formant des ateliers au Kenya, le Malawi, la Gambie et le Zimbabwe, aux pays d`augmenter beaucoup d’argent à l’intérieur du pays par une meilleure administration fiscale, une résistance aux cibles macro-économiques et utilisant la recherche de budget pour se battre contre la corruption.

A l`international, l’aide a continué à venir pour l’éducation en Afrique bien que réduit au minimum par les répercussions de la crise financière mondiale de 2008-2009. Avant 2010, au moins 22 pays sur 34 pays avaient dans le monde entier reçu ou recevaient un financement du Fonds Catalytique de EFA ET FTI. Ils sont au Bénin, au Burkina Faso, au cameroune, dans la République d`Afrique Centrale, à Djibouti, en Ethiopie, en Gambie, au Ghana, en Guinée, au Kenya au Lesotho,
en Madagascar, au Mali, au Malawi, en Mauritanie, en Mozambique, au Niger, au Rwanda, à Sao Tome et Principe, au Sénégal, au Sierra Leone et en Zambie (de http://www.educationfasttrack.org/about-fti/faqs/). Il faut noter cependant, que l’aide à la formation initiale a doublé à $4.7 US milliards depuis 2002, les niveaux d’aide actuels ne répondant pas aux $16 milliards US exigés pour de fermer les trous dans le financement de la majorité des pays à bas revenus est d`Afrique.

Cas du Kenya : Le gouvernement augmente le financement de l`éducation dan le budget 2010/11

Pendant les trois ans passés, ANCEFA a soutenu la Coalition au Kenya, appelé EYC, techniquement et financièrement à emerger d`une coalition forte avec la capacité d`influencer des politiques incluant ceux autour du financement de l’éducation. En 2007 par exemple, les fonds fournis par ANCEFA pour aider les coalitions de pladoyer du cycle d`élection et de budget supportaient aussi la formation des membres et des avant-postes régionaux dans l’analyse budgétaire et dans les campagnes de financement, aussi bien que le développement d’un manifeste d’enseignement comme un outil pour le plaidoyer.

En 2008 ANCEFA l’assistance technique fournie pour faire face aux questions de gouvernance qui ont amené la coalition à réorganiser le conseil de la coalition et renforçer le secrétariat avec un personnel technique qualifié, capabe de mener des campagnes efficaces particulièrement sur le financement d’éducation.

En 2009 et 2010, ANCEFA a aidé EYC à obtenir une assistance technique et financière par le projet de CSEF parmi d’autres, participant à l’agenda de la réforme légale (la revue constitutionnelle) aussi bien qu’ à entreprendre des campagnes pour plus de fonds pour l’éducation dans l`élaboration de l’élan des cycles de campagnes d`élection et de budget de 2007 à 2008.

Par conséquent entre 2008 et 2010 le gouvernement a fait les réformes de politique qui ont nécessité plus de ressources pour l’éducation. Parmi d’autres réalisations, en plus de rendre l’enseignement primaire gratuit, le gouvernement a subventionné les études secondaires et a introduit le jour libre et gratuit en enseignement secondaire.

Bien que le gouvernement doive manifester plus de volonté politique à dépenser plus dans l’enseignement, l’engagement d’allouer plus dans le secteur s`est fait sentir dans le budget de 2010/2011. Dans le budget de 2010/2011, le ministre des Finances a augmenté le financement tant pour un enseignement primaire gratuit qu`un programme de jour libre en enseignement secondaire par Kshs. 2 milliards chacun. Le FPE et FSE ont reçu Kshs. 9.2 milliards et 16.2 milliards de shillings respectivement dans le budget juste lu pour l`exercice financier 2010/11. Le ministre a aussi alloué 450 shillings Kshs. pour la construction de pensions primaires pas chéres dans les ASALS ; 1 milliard a été alloué pour la mise à jour et l’expansion de 26 Instituts de Formation Techniques pour fournir des compétences pratiques aux jeunes pour l`auto-emploi. En plus, Kshs. 640 millions on été mis pour l`expansion d’installations permettant la formation dans 8 écoles polytechniques nationales. Si c`est bien contrôlé et mis en oeuvre correctement, dans deux années, l’investissement accru dans les secteurs mentionnés ci-dessus promouvra l’accès à un enseignement secondaire et primaire de qualité.

Box 4 : More accountability in education

Le travail de ANCEFA en 2010 a contribué à faire augmenter la crédibilité dans le secteur de l`éducation. Dans au moins 25 pays, les coalitions éducatives soutenues par ANCEFA sont impliquées dans des inititiatives qui titillent la responsabilité nationale ou en sont même les instigateurs. Au moins 20 des quelques coalitions ont leur place dans des forums de revue politique nationaux ou dans des comités où leur voix est importante,surtout celles qui pointent du doigt des déficits dans la mise en oeuvre des politiques. Par exemple au Libéria, en Angola, au Swaziland, au Mali, en Namibie, au Botswana, au Swaziland, en Mozambique, au Burkina Faso et en Sierra Leone, les CSOs sont impliqués aux rencontres nationales et les sous- comités de l’enseignement. Au moins 10 coalitions sont impliquées dans l’analyse budgétaire et un systéme de traçage s`assure bien que les ressources arrivent dans les écoles et dénoncent les cas d`abus.

Au Ghana, au Nigeria, au Malawi, en Zambie, en Gambie, au Kenya,en Ouganda et au Niger, des organisations de société civile gérent l’analyse budgétaire annuelle et des enquêtes sur les dépenses régulières pour établir l’utilisation des ressources. Dans tous ces pays, les coalitions ont pointé du doigt la corruption et le détournement des fonds destinés à l’éducation auxquelles s`adonnent les politiciens.

Par exemple, au Malawi, le CSCQBE a publié des déclarations quant à l’abus de K400 millions, somme qui manquait a dans un des quartiers du pays après l’allocation du budget de 2010/2011. Le Gouvernement examine la question et les autorités ont entrepris la démarche appropriée aprés avoir identifié les criminels. D’autres stratégies incluent des rapports de publication, le travail avec les comités médiatiques et parlementaires et le développement de capacité des communautés pour contrôler les ressources scolaires.

Le Cas de la Gambie : Dévelopement de la capacité à faire un contrôle de budget.

En Gambie, ANCEFA a permis à la Coalition , EFANET/ Gambie de retirer l’analyse budgétaire et d`introduire le contrôle de budget dans son programme de travail. Avec l’assistance technique et financière fourni pour des projets divers comme RWS, CSEF et WellSpring, EFANET effectue maintenant le dépistage de budget sur une base plus régulière et améliore donc le service. La coalition s’est engagée avec l’Assemblée nationale à les sensibiliser sur le besoin de plaider l’assignation de ressources importantes au secteur de l`éducation. Ce processus a été appuyé par un engagement du Ministère de l’Education nationale à fournir le feed-back sur des apports et des ressources dans le secteur de l`enseignement par la recherche de stratégies.

EFA Net a participé à la planification des politiques,à la formulation et au contrôle du processus d’enseignement. Cela a permis aux Membres de l’Assemblée nationale de mieux se rendre compte de l’urgence d`apporter des changements de politique et une assignation de ressources plus importantes au secteur. ANCEFA a cautionné l’organisation d’un atelier régional de formation sur le contrôle de budget en Gambie en août 2007. ANCEFA, via RWS II, a aussi financé la recherche de Montre d’Enseignement, dans le premier groupe de pays à être soutenu. ANCEFA a aussi permis au secrétariat de la coalition de participer à l`avant réunipon du GCE à Dakar la même année.

Dans un souci de créer des synergies transnationales, ANCEFA soutenu les célébrations de Semaine d’Action Globale à Kerr Ayib entre la Gambie et le Sénégal et la publication du rapport de Montre d’Enseignement. En 2009, ANCEFA a donné naissance à une évaluation de genre et à l’approfondissement de la recherche de Montre d’Enseignement de 2007.

Majorité du Texte tiré du rapport 2010 de RWS.

En Gambie, au Burkina Faso et au Sénégal par exemple, ANCEFA a soutenu des sous-coalitions pour organiser des ateliers sur le droit à l`éducation pour des journalistes et des parlementaires. Le but était de les sensibiliser sur des problèmes-clés dans l’enseignement particulièrement en financement et en crédibilité afin qu`ils puissent en discuter avec les autorités.

Box5 : Plus d`enfants marginalisés à l`école

Notre travail a permis aux coalitions nationales d’insister sur des politiques ou des structures légales cruciales pour l’inscription croissante et la présence à l`école de tous les enfants et plus particulièrement des groupes marginalisés comme les filles et les enfants handicapés. En 2010, ANCEFA, dans le cadre du projet de campagne d’éducation des filles, CSEF et les projets EFA de mise en valeur du genre a soutenu 8 coalitions nationales au Cameroun, au Lesotho, au Libéria, au Malawi, en Gambie, en ’Ouganda, en Sierra Leone et Zambie. L’assistance a permis aux coalitions de mener un dialogue national sur les politiques contribuant à promouvoir l’éducation des filles, comme des politiques de rentrée, la construction de foyers d’étudiants pour filles, se battant ainsi contre la violence contre les filles dans les écoles, défendant des politiques de séparation des toilettes garçons et filles, promouvant le recrutement accru de femmes professeurs et les prévisions budgétaires pour le genre. De plus, l`éducation incluse est maintenant dans le dialogue des politiques nationales et dans les Parlements et les médias d`au moins 25 pays travaillant avec ANCEFA sur la question de la marginalization et de la discrimination. Ceci a été renforcé par l’ éducation incluse spécial financé par ANCEFA fourni entre 2008 et 2010 pour quatre pays incluant la Tanzanie, le Burkina Faso, le Sénégal et la Gambie. Toutes les coalitions qui ont reçu le financement CSEF en 2010 ont entrepris des campagnes en faveur de l’éducation des filles et l’éducation pour les enfants handicapés.

Alors qu’il devrait être trop tôt pour établir les chiffres tangibles d’inscription et la fréquentation des filles, des enfants handicapés et d’autres groupes marginalisés, il devrait être noté que l ’assistance de ANCEFA fera qu`il yaura tôt ou tard encore plus d`enfants marginalisés à l’école, ce qui contribuera énormément à l’ accomplissement d’UPE avant 2015. En 2010 par exemple, la Tanzanie, dont le cas est exposé ci-dessous, a reçu une récompense spéciale au Sommet MDG à New York pour avoir réalisé l`UPE. Presque 50 % de pays où ACEFA travaille, ils ont ont réussi la parité hommes/femmes au niveau inférieur de l`enseignement primaire et font des progrès au niveau plus haut. Dans plus de 60 % des pays la proportion d’inscription nette oscille tout près de l’objectif 2015 de 100. En somme, les défis restent toujours avec l`Afrique Sub Saharienne représentant 43 % des 67 millions d’enfants de l’école à l’échelle mondiale. Le financement Limité et quelques politiques rétrogressives et lois signifient que la plupart des pays peu de temps dur pour réaliser UPE avant 2015.

Le Cas de Tanzanie : progrès notable vers UPE

En 2010, la Tanzanie a reçu une reconnaissance spéciale au Sommet MDG tenu à New York, pour avoir fait des pas progressifs vers l’UPE, atteignant un NER de 100. Plus d’enfants dans le pays incluant les marginalisés, les filles et les enfants handicapés ont accès à la formation initiale en raison des réformes de politiques notamment l’inscription étendue, le financement accru et l`augmentation du taux de recrutement des professeurs. Ceci est une histoire positive non seulement pour le gouvernement, mais aussi pour le réseau CSO appelé TENMET et ANCEFA. On pourrait soutenir que les efforts de TENMET en Tanzanie ont contribué à la mise en oeuvre gouvernementale des politiques qui ont mené à l’accès étendu à une éducation de base.

TENMET qui a commencé en 1999 et compte une adhésion d’autour de 200 diffusion de CSOS dans 128 quartiers, est bien reconnu dans des cercles de politique éducative gouvernementale. L’adhésion de la coalition a une lourde présence dans des forums de dialogue tant nationaux que locaux influençant ainsi des positions stratégiques et des politiques. Il promeut aussi la surveillance du citoyen et fait des recommandations régulières au gouvernement. Dans ses activités, TENMET a réussi à influencer la revue de la Politique éducative 1995, l’abolition des droits scolaires et la formation des professeurs plus qualifiés. TENMET a aussi contribué au développement d’une politique éducative incluse, qui a assuré l’inscription accrue pour des enfants handicapés. De plus, TENMET et son large réseau CSO, est impliqué dans le contrôle des dépenses publiques et la promotion de la participation communautaire dans le dialogue des politiques et la gestion scolaire. TENMET insiste actuellement sur un nouveau projet de loi éducative pour remplacer la Politique éducative de 1995.
Les parties prenantes en Tanzanie notamment le gouvernement, les donateurs et CSOS reconnaissent que TENMET a été influent dans le contrôle et la préconisation pour EFA ,le pays.

ANCEFA a aidé TENMET depuis 2003, de plusieurs manières. Entre 2003 et 2008 ANCEFA a impliqué TENMET dans la capacité régionale d`organiser des ateliers sur le contrôle du budget et sur le plaidoyer ; a financiérement aidé TENMET à participer à des forums régionaux et internationaux sur EFA ; impliqué TENMET dans développement d’un manuel de gouvernance scolaire en 2004, a aidé financiérement TENMET à la recherche sur l’éducation incluse et fasse des recommandations de politique au gouvernement. En 2007 et 2008 ANCEFA a impliqué TENMET dans la recherche de montre éducative régionale, dont les découvertes ont été utilisées pour le plaidoyer de politique dans le pays. En 2009 et 2010 TENMET a reçu des fonds de CSEF pour la capacité de créer des formations pour les membres aussi bien que le plaidoyer de EFA. Alors que TENMET aurait pu recevoir une aide financirére et technique de la part d’autres associés pour lui permettre d`influençer le travail sur les politiques, l’assistance de lANCEFA a eu, et continue d`avoir un l’impact significatif dans le travail de la Coalition en Tanzanie, particulièrement dans l’effort pour finir un agenda EFA chargé dans tout le pays.

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